Quand les routes s'étendent elles lèvent mon fardeau
Il existe encore des villages isolés
Au calme l'accueil dans les mains
Des hommes peuvent y offrir leur sérénité
Je vois mon départ depuis le bord des sentiers
Le courant force les lacets la rivière me fige
Le vent vole jusqu'à mon lointain matin
Qui peut-être est ici. Dans ce lieu qui me collige
Lorsque la pensée s'étend vers les yeux qui l'exigent
J'irai toujours jusqu'au bout contre les courants entrelacés
L'aile d'un typhon qui poursuit son cœur hyalin
Voit encore le trajet des feuilles mortes, serein au-dessus des ruelles
accueillantes pour les parsemer
Lueurs